Maîtresse Lola et moi-même avons vécu au Japon quelques temps, et j’y suis très souvent retourné pour des raisons professionnelles. On estime entre 4,5 et 5 millions le nombre de Dominatrices pratiquantes privées. Les Donjons Pro se comptent par centaines, restaurants, bars, discothèques mais aussi boutiques, petits centre commerciaux communautaires, rues, etc. Le BDSM est omniprésent dans la prostitution, mais aussi très fortement dans le cercle familial et amical.
A Osaka et Tokyo se trouvent des écoles spécialisées qui forment les jeunes femmes au maniement du fouet et de tout autres pratiques. Elles deviennent aides Maîtresses, en apprentissage, puis Maîtresses à leurs comptes et enfin Queens.
A l'école...
Un sondage de 2009 sur les pratiques sexuelles et les fantasmes faisait ressortir que les jeunes japonaises rêvent de fouetter un homme et déféquer sur lui. Pratique japonaise banalisée dans les faits…
Le mâle japonais est majoritairement un « goujat » une fois marié. Sa femme, une fois mère de ses enfants, n’est plus la jeune femme qu’il a connu alors fiancé. C’est un véritable problème culturel et social… Ensuite, l’employé japonais a très peu de vacances, des heures de travail incroyables, une politique de motivation incessante et une sortie tous les 6 mois entre hommes du bureau. Ces fêtes sont une habitude sensée mieux rapprocher les hommes entre eux. Ces fêtes sont un énorme marché pour les spécialistes du secteur : ils se saoulent, dépensent de grosses sommes avec des filles et beaucoup en pratiques SM. Des excès ayant pour cause ce rythme de vie et ces frustrations journalières…
Dans toutes les couches de la société le BDSM est totalement accepté et connu par les jeunes très tôt.
* Le Bondage (Kinbaku et Kinbaku-bi) est connu comme l’est le Sumo. C’est l’art de rendre un corps captif par tout accessoire de contrainte. L’on en parle dans les cahiers scolaires, le Shibari, une corde sacrée de l’époque médiévale. Les Maîtres de la corde sont très connus, ils suivent des rites anciens, ont des codes, leurs propres méthodes sont réputées. Là aussi il existe des écoles de Bondage. Surprenant des milliers de jeunes filles attendent l’âge légal pour « se faire bonder ». Souvent la famillle l’encourage ! Les amateurs achètent chers ces droits de « bonder » une jeune femme et il n’y a pas d’attouchements sexuels.
* Le Bondage (Kinbaku et Kinbaku-bi) est connu comme l’est le Sumo. C’est l’art de rendre un corps captif par tout accessoire de contrainte. L’on en parle dans les cahiers scolaires, le Shibari, une corde sacrée de l’époque médiévale. Les Maîtres de la corde sont très connus, ils suivent des rites anciens, ont des codes, leurs propres méthodes sont réputées. Là aussi il existe des écoles de Bondage. Surprenant des milliers de jeunes filles attendent l’âge légal pour « se faire bonder ». Souvent la famillle l’encourage ! Les amateurs achètent chers ces droits de « bonder » une jeune femme et il n’y a pas d’attouchements sexuels.
* Le Tamakeri est aussi vraiment très répandu. Il consiste à recevoir des coups dans les testicules, avec les pieds, les genoux ou les poings. L’homme ne peux se protéger, et tenir ces mains dans son dos. Une fois à terre, plié de douleur, la femme lui écrase le visage avec son pied. Dans toutes les villes il existe des centres pour cette pratique. Toutes les lycéennes japonaises connaissent cette pratique et beaucoup d'entre elles la pratique pour ce faire de l’argent de poche. Il n’y a pas d’attouchements sexuels et généralement l’homme est en slip. En anglais ils'agit de "Ballbusting".
* Il y a aussi le Yapou, culture japonaise du bétail-humain et qui a un fameux roman lu par des millions de japonais, il a profondément « percuté » la société japonaise.
* Le Yapoo’s market, avec son école (!)et ses concours télévisés (chaines X) qui traite de l’utilisation d’hommes comme toilettes féminines; c'est un fantasme majeur chez les japonaises.
* L’Omorashi est une pratique très répandue avec ses clubs, ses bars, ses soirées. Des milliers d’adeptes dans toutes les grandes villes. Il consiste à tenir sa vessie pleine le plus longtemps possible, ce qui créé une ambiance très particulière et joyeuse. L’on « explose » ensuite sur quelqu’un ou dans sa culotte, dans son jean, sa robe… toujours en public. C’est une incroyable expérience pour un occidental. Vous trouverez un bel article sur le sujet dans wikipedia France, comme sur tout le reste d’ailleurs…
Mais il faudrait encore dix pages pour vous expliquer les rites SM et BDSM japonais… J’ai cité 5 pratiques majeures, en dehors des pratiques classiques BDSM, pour vous notifier la spécificité du Japon, et de la Corée.
* Le Yapoo’s market, avec son école (!)et ses concours télévisés (chaines X) qui traite de l’utilisation d’hommes comme toilettes féminines; c'est un fantasme majeur chez les japonaises.
* L’Omorashi est une pratique très répandue avec ses clubs, ses bars, ses soirées. Des milliers d’adeptes dans toutes les grandes villes. Il consiste à tenir sa vessie pleine le plus longtemps possible, ce qui créé une ambiance très particulière et joyeuse. L’on « explose » ensuite sur quelqu’un ou dans sa culotte, dans son jean, sa robe… toujours en public. C’est une incroyable expérience pour un occidental. Vous trouverez un bel article sur le sujet dans wikipedia France, comme sur tout le reste d’ailleurs…
Mais il faudrait encore dix pages pour vous expliquer les rites SM et BDSM japonais… J’ai cité 5 pratiques majeures, en dehors des pratiques classiques BDSM, pour vous notifier la spécificité du Japon, et de la Corée.
* La Gynarchie: Avec les USA, c’est le pays où l’on dénombre le plus d’esclaves Gynarchiques. Les amateurs qui surfent sur le net verront très souvent des photos de belles femmes en robes blanches de mariées avec un mâle en laisse ou captif près d’elle.Dans 90% des cas c’est un mariage Gynarchique. Tous les samedi soir le pays consacre des mariages gynarchiques. Des contrats sont signés lors d’une cérémonie et devant témoins. Le mâle entre en esclavage pour toujours, ses biens deviennent ceux de sa Maîtresse, elle prend le contrôle de son corps comme un mobilier-humain, au même titre qu’une voiture ou une machine à laver. Des clauses surprenantes sont stipulées comme par exemple un planning d’éjaculation du mâle, par traite ou masturbation. Elle pourra le vendre, le prêter ou le louer par la suite selon son souhait. Une clause d’affranchissement donne la possibilité de sortie au mâle contre paiement d’une somme. Légalement, cette pratique n’est pas acceptée, mais gare à l’esclave qui ne paie pas : des Yakuzas, la mafia japonaise, sont spécialisés dans le recouvrement de cette créance spéciale… Ces mariages ouvrent la porte aux manipulatrices : l’esclave tombe vite en disgrâce et il devra quand-même payer…Ces tristes situations ont fait l’objet de reportages. C’est une raison qui pousse un très grand nombre de femmes Dominatrices honnêtes, et de soumis, à fréquenter des communautés privées hors milieu festif gangrené par la mafiaet la prostitution. Des communautés avec parrainage se sont créées, une agence très sérieuse s’est spécialisée depuis 30 ans dans ce domaine. Les unions par amour et amitié sincère sont très nombreuses. Et le fait d’être entouré d’une communauté régularise les situations et règle les conflits. Au Japon il y a beaucoup plus de femmes qui recherchent un esclave gynarchique que d’esclaves gynarchiques à la recherche d’une Maîtresse ! Situation encore impensable en Occident. La femme japonaise sait qu’elle sera heureuse avec lui, il travaillera pour elle, elle contrôlera tout de lui et jouera son rôle de Dominatrice. Quoi de mieux dans une société où la femme est peu respectée une fois mariée ? La très jeune femme japonaise trouvera en un esclave gynarchique un « tuteur » pour ses débuts dans la vie. En Europe nous sommes donc bien loin de cette situation, mais il existe des milliers de couples de ce genre en Suisse, Allemagne, Angleterre et surtout beaucoup aux USA.
Julien
Unique au monde, un école ouverte pour les jeunes Dominatrices. La liste d'attente y est très longue... L'origine y est culturelle. Un exercice pratique: faire sur un mâle et ainsi imposer son autorité absolue.