vendredi 15 février 2013

C'est très beau...

J'aime beaucoup ces simples clichés...

La correction n'est pas un jeu, mais un symbole, physique, matériel, de la puissance d'une Déesse sur un mâle. Cette dernière arrive, au départ par son intellect, sa puissance naturelle, à amener un mâle esclave gynarchique par définition non masochiste, non adepte de jeux BDSM à subir une correction... C'est un acte d'amour, elle de le pratiquer avec application, lui de sentir sa peau brûler comme une offrande d'une part, comme une réelle puissance physique qui s'impose à lui, d'autre part : Reconnaissance de la puissance féminine.
Moment de tendresse aussi, parfois avant, souvent après, il est bon d'entre sa Maîtresse murmurer: "Je sais, tu as mal, tu l'as fait pour moi, je suis fière de toi, c'est bien..." Là, pour l'esclave,ce n'est pas le corps qui pleure, mais son coeur, d'amour...
                                                                                         Julien
 





 
 
 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire