Dans la communauté gynarchique, jamais l'on ne parle de Soumis,
mais d'Esclave.
Le terme "Soumis" est très spécifique au BDSM français d'une part, et ne correspondant pas exactement à la philosphie gynarchique d'autre part.
Or de question d'expliquer par ces propos que l'un est mieux que l'autre, non, non, là n'est pas la question, il n'y a pas d'échelle de hiérarchie en la matière!
Le BDSM français est par bien des points éloigné des autres communautés mondiales car ses bases ne sont pas du tout culturelles mais essentiellement basées sur l'après 1968 et la décennie pornographique qui a suivi; l'influence de cette période à été grande sur la sexualité des français et très majoritairement le BDSM a été assimilé à une pratique sexuelle originale parmi d'autres... Cela peut-être bien pour beaucoup qui y trouvent là des jeux, majoritairement les mâles y trouvent des éjaculations "différentes", des Femmes y trouvent des dérivatifs sexuels, et la jeune génération 20-35 ans a "baigné" dans cette culture post-68. C'est vraiment très différent en Allemagne et au Japon. Ainsi en France l'on parle de "Soumis", rarement d'esclave, mot bien plus fort, bien plus "vrai". Esclave se justifie culturellement et intellectuellement. Soumis, pas du tout, même si dans une minorité de cas les situations sont identiques. Minorité. Il ne faut jamais généraliser...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire