dimanche 21 décembre 2014

Un esclave affranchi...

Une Déesse "libère" son esclave, puur aison X ou Y,  il est donc affranchi.
A partir de ce jour là, un esclave gynarchique n'aura comme quête que de retrouver une nouvelle propriétaire sérieuse, sauf bien-entendu si sa Déesse l'a revendu ou cédé à une autre Déesse; le cas dans un quart des transactions au Japon et en Allemagne.
A ce propos, un esclave peut-être prêté, par exemple à une copine en mal de ménage, de linge... ou pour une période moyenne (déprime, vacances, voyage...)

Un esclave gynarchique sera patient; mais à l'approche d'une rencontre, d'un premier rendez-vous, son mental va s'emballer, entrer parfois dans un climat personnel passionnel, beaucoup cogiter, écrire, simuler des situation, parler de son passé, de ses Déesses, de ses dressages précédents... Réaction normale, pas toujours positive pour son image car une Déesse pourrait mal interpréter cette période "d'avant"; décrire ce qu'il a vécu avec insistance peut-être assimilé à des souhaits, des vœux... Le gynarchique ressemble un peu trop au "soumis" - terme français BDSM, non utilisé par la communauté gynarchique - en soif surtout d'éjaculation, ou en séance, session ou au sortir de sa séance... Or le gynarchique lui n'est pas motivé par le sexe, encore moi une éjaculation. 

Au Japon, la fin de l'affranchissement de l'esclave est le moment de la "Prise de possession".Un exercice rituel déjà décrit, où l'esclave sera battu - symbole de la puissance physique de sa Déesse - et latrine, symbole de l'absolue soumission. En Allemagne et Suisse, idem dans 80% des cas, aux USA généralement seulement battu. 








mercredi 17 décembre 2014

Aspects pratiques

Dans la communauté Gynarchique il n'est pas utile d'avoir des accessoires...
Une laisse, un bol, un ceinturon pour l'autorité feront l'affaire...
Inutile de se lancer dans cette course à l'accessoire...Et pour un esclave gynarchique sa Déesse est magnifique en pyjama, en jean, culotte ou nue!
L'esclave peut avoir subit des dressages précédents: c'est le cas de seniors comme moi, esclve Puppy ou Sissie, ou encore de mâles "fatigués" du BDSM à la française et à la recherche de relations vraies; je pense à ceux qui ont "fait le tour de la question", ceux qui des années ont pratiqué du BDSM comme ils pratiquaient de l'échangisme, du voyeurisme et autres perversions. Un jour ils peuvent être saturés et avec l'âge évoluer...


ASPECT PRATIQUE

Expériences passées :
Ma dernière propriétaire avait des difficultés pour "franchir le pas"...


En premier à cause de son emploi du temps, elle travaillait en semaine, avait quand-même un jour de libre supplémentaire souvent, et en second  pas facile de prendre en pension une journée chez soi un esclave nouveau car un climat de confiance doit s'établir. Comment faire pour que la relation ne prenne pas au départ une version "session" et jeux?

J'ai proposé de venir tôt un matin de semaine, là elle m'a attaché au radiateur, gardé la clé avec elle. Ma chaîne de 3m me permettant de me mouvoir dans la cuisine, et nulle part ailleurs. Elle pouvait partir sans crainte, laisser son appartement à un presque inconnu, il ne pouvait pas aller bien loin! C'est idiot d'écrire cela pour moi aujourd'hui, mais c'est souvent une bonne solution de départ. Plus tard elle m'avouait son sentiment de joie de savoir avoir un esclave à la maison une fois semaine quand elle travaillait, et son désir de rentrer à la maison en sachant être propriétaire d'un mâle. N'est ce pas le lot des chiens et chat souvent?
Et pas de problème non plus pour la colocataire, l'ami  ou les copines si elles sont au courant. l'esclave amène sa chaîne, comme il amène son bol. Un esclave convoqué se présente toujours vide et propre chez sa Déesse; pendant son absence il urinera dans son bol, et par sécurité beaucoup de Déesses leur font porter une couche en journée.
SIMPLICITE : Cadena au cou et au départ de la chaîne, il peut rester seul, son espace est limité...
Inutile donc de "bloquer" sur ce problème; Une Déesse peut ainsi observer son futur esclave, faire connaissance...


Les esclaves dressés Puppies peuvent être en cage...

Dans ce cas, pour raison de sécurité, l'éloignement de la Déesse est déconseillé.

Quand c'est possible ! 
Mais le but n'est pas de le laisser ainsi, l'esclave repasse, lave, cuisine...





Mots clés...

La Tendresse, l’amitié, l’amour, le respect, l’obéissance, l’écoute, la fidélité, les règles d’équilibre, la sexualité, le militantisme.

-        Tendresse : L’esclave gynarchique est ultra-sensible de nature. Les psy développent facilement cette évidence. Son excès d’amour disent certains en est la cause. Il saura combler sa Déesse sans arrière-pensée autre que de vivre avec elle un moment de tendresse : Massage, bain, douche, séchage, soins des cheveux, des pieds… Il saura être contre elle quand elle le souhaite, asexué par dressage ou méditation sur sa conditions d'esclave gynarchique.
Autre chose : un gynarchique a, à la base, et dans beaucoup de pays, été dressé à ne pas être en érection, signe d’excitation, d’envie, donc signe d’irrespect total à l’égard de sa Déesse. Dressé par des Déesses ou de lui-même ! Généralement de lui-même car c’est l’essence même du gynarchique que de militer pour que la Femme ne soit pas seulement un objet de plaisir, comme le pensent et agissent des millions de mâles. Ensuite, son cerveau, au fil des ans, a appris a éliminer ses envies sexuelles, a accepter toute frustration, pour finalement compartimenter les choses. Il sera un parfait eunuque, eux qui passaient leurs vies dans les harems auprès des Déesses, et tendrement. Un gynarchique est oui un eunuque mental. Pour mon expérience personnelle, gynarchqiue très tôt, j'étais souvent en érection, nerveuse ou pas. Déesse Katia m'a dressé au Ballbusting; mon cerveau en a toujours gardé ce souvenir si douloureux - c'est terrible - qu'aujourd'hui encore il en est effrayé... Pour en revenir à la tendresse, moment si privilégié avec sa Déesse, cette dernière intervient dans la relation gynarchique, d'autant qu'elle est dans la nature féminine. La tendresse c'est aussi ce moment où ma Déesse vient me consoler, me rassurer, me murmurer à l'oreille suite à une punition, une forte correction où ma peau brûle. Moment partagé intense, amour si fort pour moi...


-        L’amitié : Comme dans tous rapports humains ! L’esclave gynarchique entre dans l’intimité, la vie sociale de sa Déesse. Avec les jours qui passent, forcément ce sentiment va naître et se solidifier. Dans mon cas j’ai par-exemple gardé de solides relations avec plusieurs de mes anciennes propriétaires, leurs familles ou amis. La Déesse généralement se prend d’amitié pour son esclave.

-        L’amour : Un « immense » amour du gynarchique pour sa Déesse… Discret, non possessif puis qu’esclave, le gynarchique va intérioriser son sentiment comme peu de Femmes puissent l’imaginer. Le psychique du gynarchique est focalisé sur cet amour qu’il a pour elle et qui justifiera tout ce qu’il fera pour elle. Il faudrait développer des pages entières sur ce paragraphe, là, on fait court


-        Le Respect : Respect de l’autre, de sa différence ; certains sont Gay, d’autres prêtres au service de Dieu, eh bien certains sont des esclaves… La Déesse saura protéger cette importante notion auprès des autres par exemple. Respect de l’esclave envers sa Déesse… Inutile de développer !


-        L’Obéissance : Elle doit, elle est,  totale, et une Déesse honnête jamais n’en abusera. D'autant que l'esclave trouve bonheur à obéir, à satisfaire celle pour qui il a tant d'amour.


-        L’Ecoute : Le gynarchique devient un confident, les seniors des conseillers, celui à qui l’on confie ce que l’on ne puis exprimer ailleurs parfois, ou simplement car la Déesse à un besoin de parler, une baisse de moral, un enthousiasme pour un projet… Le gynarchique, via son ultra-sensibilité sait très souvent anticiper, « sentir » les choses morales…

-        La Fidélité : L’on devrait même pas en parler… Sa Déesse est unique. Il l’aime.


-    Les règles d’équilibre : Japonais et Allemands les appliquent avec rigueur, les psychiatres de la communauté approuvent.  Elles maintiennent oui un long équilibre entre une Déesse et son esclave.
a)     Un esclave est esclave. C’est le respecter que de le lui « rappeler » sans cesse et le considérer comme tel. Prenons un exemple : un repas dehors, avec des amis, la Déesse est là, son esclave, peut-être alors présenté comme un simple ami, est là aussi. Tout se passe communément, et l’on se sépare. De retour à la maison, l’esclave sera « mal ». Il aurait suffi d’un détail, d’une parole, d’un acte pour lui rappeler indirectement son statut devant les autres pour le rendre immensément heureux : il existe ! Et double satisfaction, il montre fièrement son appartenance à sa Déesse.

b)     La correction rituelle : C’est un symbole important, sa Déesse est puissance physique, car non les mâles ne sont pas supérieurs aussi physiquement. Sa périodicité est selon la sensibilité de chacune : tu seras corrigé une fois mois, une fois tous les 15 jours, tous les samedis… Peu importe. Corriger son esclave c’est le respecter. La très grande majorité des gynarchique ne sont pas masochistes et éprouvent une crainte aux corrections, cravaches, triques ou fouet ; la plus belle est à main nues pour l’intimité qu’elle procure… Mais c’est un rappel indispensable à leurs conditions. 

c)      Punitions : On puni son esclave, on le respecte. Si une punition ne peut être appliquée sur le moment, elle doit être due. Un exemple : Déesse Liane a remarqué la poussière sous un meuble. Je l’ai vite enlevé. Elle est partie dans une autre pièce. J’aurai mérité une gifle ou une mise au coin ; elle n’a rien fait. J’étais malheureux, attristé, serais-je devenu un simple serviteur ? Un étranger ? Tout manquement doit être puni, que l’esclave soit responsable ou pas, juste ou injuste. Un retard, une lenteur, une marque à la place d’une autre… Plus la Déesse sera rigide sur ce point, plus son esclave sera attaché à elle. C’est ce qu’on appelle le Dressage. JAMAIS des « C’est pas grave ». Le pire de tout pour le gynarchique… Hélas, beaucoup de Déesses « passent », sont cool, compatissantes : c’est terrible, car le subconscient de l’esclave le percevra comme un désintéressement pour sa nature, sa personnalité d’esclave, la relation sera en danger… C’est peut-être le point le plus important qui fait la différence entre les simples Dominatrices et les Queens. N’est pas Dominatrice qui veut… car dans le contexte des punitions c’est de Domination pure qu’il s’agit : une Déesse est aussi Dominatrice. Chacune à sa manière, ses méthodes, mais elle doit savoir dresser son esclave mâle pour qu’il puisse vivre normalement, respecté, comme esclave qu’il est.

d)     Dons : Le bonheur suprême pour un esclave est de recevoir un don de sa Déesse ; un Don a obligatoirement transité par elle, dans son corps. Ses glaires, sa salive, son urine et autre parfois… Elle mâche pour son esclave, elle lui tend ses restes, même en présence d’autres personnes. Le gynarchique aura cet incroyable sentiment de complicité totale avec sa Déesse car elle lui offre de son « Elle » de son intimité, de son intimité la plus secrète et tabou jusqu’alors pour certaines. Ce sont des actes d’amour et de confiance : c’est pour toi et toi seul mon esclave, cela vient de moi, de mon corps.

e)     La traite : Un esclave gynarchique n’ai plus du tout propriétaire de sa sexualité quand il est sous la tutelle de sa Déesse. Elle seule décide. Mais au Japon et en Allemagne, aux USA aussi, il est annoncé à l’esclave une périodicité de son éjaculation. Pour des raisons de métabolisme, d’hygiène naturelle… « Tu pourras éjaculer une fois par mois, une fois par an, tous les 6 mois… »  Chaque Déesse décide selon. Elle peut le faire, le voir faire ou le commander à distance. Aucune importance pour l'esclave.


-        La Sexualité : Un esclave ne se masturbe pas seul, ce serait pour lui « vendre son âme », ne plus se respecter soi-même car sa sexualité est propriété de sa propriétaire. Se masturber serait la tromper. Inimaginable, car tout son édifice moral s’effondrerai. Bien au contraire son cerveau travaille la chose et c’est ce qui donne cet équilibre de vie si magnifique à l’esclave : son sentiment d’appartenance par amour et hors le seul sujet sexuel. Un gynarchique ne voit pas en sa Déesse un être à fantasme, un désir sexuel. MAIS : Toutes mes Déesses un jour, lors d’un massage, d’un bain ou autre ont exigé de moi de longues jouissances ; ensuite mes Déesses Dominatrices pro de Suisse, Allemagne et Japon m’ont amené en Studio pour satisfaire des clients ; je ne suis pas gay, mais cela n’a absolument aucune importance, c’était un souhait de ma Déesse. Lors de soirées à thèmes en Suisse, des fonds étaient récoltés pour une sortie communautaire un dimanche ; environ 10€ la fellation l’esclave que je suis, et d’autres, ont dû en faire toute la soirée sous le commandement de nos Déesses. En résumé la sexualité intervient ou pas dans une relation gynarchique, seule la Déesse décide. J’ai eu 2 propriétaires mariées, fidèles, jamais elles n’ont abusé de moi.
 


-        Militantisme : Pour un gynarchique, la Femme est flouée, elle n’a pas sa place dans ce monde. Elle donne la vie, et il existe encore des mouvements qui la prennent pour un bovin !
Notre monde est souvent haine et guerres depuis des millénaires, à cause des hommes et eux seuls. Dieu aurait dû être Femme, car elle seule donne la vie et fera tout pour protéger son petit, son enfant ou ceux des autres mamans même. Si la vie sur terre avait commencé sur ces bases, nous n’en serions pas là avec ces milliards de morts depuis… Ensuite l’homme raisonne souvent avec sa queue, et elle seule ; il fait de la femme son objet. Elle peut être consentante, aimer les choses du sexe, bien-évidemment, et c’est bien, aucun jugement là-dessus, mais elle doit toujours elle contrôler les choses. Ce n’est pas le cas totalement dans ce monde : très loin s’en faut ! La femme est belle, beauté du corps, sensibilité, amour, féminité, tendresse, maman… Plus rarement autorité. Le gynarchqiue milite pour l’autorité de la Femme.
Ensuite, une Femme qui apprend à Dominer vraiment se fortifie, gagne en confiance en elle, immensément. A mon âge je peux témoigner avoir vu de frêles jeunes femmes entrer dans notre communauté avec timidité et être aujourd’hui de riches femmes d’affaires, une d’entre elle en particulier posséder plusieurs magasins dans le monde… Inimaginable pour elle à 20 ans. Je voudrai aussi apporter ce témoignage : Déesse Micky, de Mulhouse, m’a dressé de nombreuses années. Sa fille étudiante de 19a vivait chez elle.  Pas à pas elle a expliqué à sa fille vouloir vivre sainement sa condition de Dominatrice, assumer son statut, sa personnalité, ne pas se cacher ; pas à pas sa fille m’a adopté en esclave maison ; je venait une ou deux fois semaine, repassage, lavage, ménage... Un matin, en riant elle a dit une première fois « Nous avons 2 chiens à la maison maintenant ». C’est que sa mère m’avait mis nu dans un coin de la cuisine, nez dans mon bol pour me punir. Elle a été surprise, certes, mais j’ai été adopté. Très peu de temps après elle m’ordonnait, me montrait du doigt mon coin, un jour que je passais l’aspirateur où il ne fallait pas dans sa chambre a pris une trique et frappé fort ; plus tard elle a voulu assister à une correction par sa mère. Des années plus tard nous nous sommes revu dans un supermarché, et là elle m’a remercié, avoué qu’en fait grâce à ma présence elle avait formidablement grandie, gagné en maturité en confiance en elle surtout et aujourd’hui savoir parlé avec autorité partout ! Je l’ai embrassée de bonheur, nous nous sommes enlacés. Aussi je donne un conseil aux Déesses qui hésitent : Assumez, au moins chez vous. L'esclave vous aidera. Si vous avez une amie intime, parlez, et présentez lui votre esclave en esclave : lui sera fier, votre amie vous remerciera de votre confiance en elle, et vous Déesse, votre subconscient enregistrera la scène et vous vivrez mieux en vous votre nature de Dominatrice sans parfois que vous en rendiez compte ; vous aurez gagné en confiance en vous si vous en manquiez. Pour le gynarchique c’est aussi un acte militant que de montrer et de témoigner de la cause. Enfin, au Japon, mais surtout en Allemagne, les mères sont souvent accompagnées par leurs filles majeures quand elles dominent leurs mâles. Il n’y a pas de gêne et psychologiquement tout repose sur le fait qu’il n’y a pas de rapport sexuel avec le mâle dressé. La plupart des filles souffrent de savoir leurs mères prostituées, mais pas du tout de savoir qu’elles sont Dominatrices.
Au contraire, c’est souvent une fierté !
                                                                                       Julien




mercredi 10 décembre 2014

Bientôt Noel déjà...

On espère que tout le monde va bien; notre Blog est donc toujours en Standby, mais l'on répond aux questions et contacts.
Mme Lola est toujours au Japon, Déesse Sylvia toujours en Afrique du Sud, et Julien en Aquitaine (toujours affranchi)...

Quelques amies...