La Tendresse, l’amitié,
l’amour, le respect, l’obéissance, l’écoute, la fidélité, les règles d’équilibre,
la sexualité, le militantisme.
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Tendresse :
L’esclave gynarchique est ultra-sensible de nature. Les psy développent
facilement cette évidence. Son excès d’amour disent certains en est la cause. Il
saura combler sa Déesse sans arrière-pensée autre que de vivre avec elle un
moment de tendresse : Massage, bain, douche, séchage, soins des cheveux,
des pieds… Il saura être contre elle quand elle le souhaite, asexué par dressage ou méditation sur sa conditions d'esclave gynarchique.
Autre chose : un gynarchique a, à la base, et dans beaucoup de pays, été dressé à
ne pas être en érection, signe d’excitation, d’envie, donc signe d’irrespect
total à l’égard de sa Déesse. Dressé par des Déesses ou de lui-même !
Généralement de lui-même car c’est l’essence même du gynarchique que de militer
pour que la Femme ne soit pas seulement un objet de plaisir, comme le pensent
et agissent des millions de mâles. Ensuite, son cerveau, au fil des ans, a appris
a éliminer ses envies sexuelles, a accepter toute frustration, pour finalement
compartimenter les choses. Il sera un parfait eunuque, eux qui passaient leurs
vies dans les harems auprès des Déesses, et tendrement. Un gynarchique est oui
un eunuque mental. Pour mon expérience personnelle, gynarchqiue très tôt, j'étais souvent en érection, nerveuse ou pas. Déesse Katia m'a dressé au Ballbusting; mon cerveau en a toujours gardé ce souvenir si douloureux - c'est terrible - qu'aujourd'hui encore il en est effrayé... Pour en revenir à la tendresse, moment si privilégié avec sa Déesse, cette dernière intervient dans la relation gynarchique, d'autant qu'elle est dans la nature féminine. La tendresse c'est aussi ce moment où ma Déesse vient me consoler, me rassurer, me murmurer à l'oreille suite à une punition, une forte correction où ma peau brûle. Moment partagé intense, amour si fort pour moi...
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L’amitié : Comme dans tous rapports humains ! L’esclave gynarchique entre dans l’intimité, la vie sociale de sa Déesse. Avec
les jours qui passent, forcément ce sentiment va naître et se solidifier. Dans
mon cas j’ai par-exemple gardé de solides relations avec plusieurs de mes
anciennes propriétaires, leurs familles ou amis. La Déesse généralement se prend
d’amitié pour son esclave.
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L’amour :
Un « immense » amour du gynarchique pour sa Déesse… Discret, non
possessif puis qu’esclave, le gynarchique va intérioriser son sentiment comme
peu de Femmes puissent l’imaginer. Le psychique du gynarchique est focalisé sur
cet amour qu’il a pour elle et qui justifiera tout ce qu’il fera pour elle. Il
faudrait développer des pages entières sur ce paragraphe, là, on fait court…
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Le Respect :
Respect de l’autre, de sa différence ; certains sont Gay, d’autres prêtres
au service de Dieu, eh bien certains sont des esclaves… La Déesse saura
protéger cette importante notion auprès des autres par exemple. Respect de l’esclave
envers sa Déesse… Inutile de développer !
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L’Obéissance :
Elle doit, elle est, totale, et une
Déesse honnête jamais n’en abusera. D'autant que l'esclave trouve bonheur à obéir, à satisfaire celle pour qui il a tant d'amour.
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L’Ecoute :
Le gynarchique devient un confident, les seniors des conseillers, celui à qui l’on
confie ce que l’on ne puis exprimer ailleurs parfois, ou simplement car la
Déesse à un besoin de parler, une baisse de moral, un enthousiasme pour un
projet… Le gynarchique, via son ultra-sensibilité sait très souvent anticiper, « sentir » les choses morales…
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La
Fidélité : L’on devrait même pas en parler… Sa Déesse est unique. Il l’aime.
- Les règles
d’équilibre : Japonais et Allemands les appliquent avec rigueur, les
psychiatres de la communauté approuvent.
Elles maintiennent oui un long équilibre entre une Déesse et son
esclave.
a) Un
esclave est esclave. C’est le respecter que de le lui « rappeler » sans cesse et le considérer comme tel. Prenons un exemple : un repas dehors, avec des
amis, la Déesse est là, son esclave, peut-être alors présenté comme un simple ami,
est là aussi. Tout se passe communément, et l’on se sépare. De retour à la
maison, l’esclave sera « mal ». Il aurait suffi d’un détail, d’une
parole, d’un acte pour lui rappeler indirectement son statut devant les autres
pour le rendre immensément heureux : il existe ! Et double
satisfaction, il montre fièrement son appartenance à sa Déesse.
b) La
correction rituelle : C’est un symbole important, sa Déesse est
puissance physique, car non les mâles ne sont pas supérieurs aussi physiquement. Sa
périodicité est selon la sensibilité de chacune : tu seras corrigé une
fois mois, une fois tous les 15 jours, tous les samedis… Peu importe. Corriger
son esclave c’est le respecter. La très grande majorité des gynarchique ne sont
pas masochistes et éprouvent une crainte aux corrections, cravaches, triques ou
fouet ; la plus belle est à main nues pour l’intimité qu’elle procure… Mais
c’est un rappel indispensable à leurs conditions.
c) Punitions :
On puni son esclave, on le respecte. Si une punition ne peut être appliquée sur
le moment, elle doit être due. Un exemple : Déesse Liane a remarqué la
poussière sous un meuble. Je l’ai vite enlevé. Elle est partie dans une autre
pièce. J’aurai mérité une gifle ou une mise au coin ; elle n’a rien fait.
J’étais malheureux, attristé, serais-je devenu un simple serviteur ? Un
étranger ? Tout manquement doit être puni, que l’esclave soit responsable
ou pas, juste ou injuste. Un retard, une lenteur, une marque à la place d’une
autre… Plus la Déesse sera rigide sur ce point, plus son esclave sera attaché à
elle. C’est ce qu’on appelle le Dressage. JAMAIS des « C’est pas grave ».
Le pire de tout pour le gynarchique… Hélas, beaucoup de Déesses « passent »,
sont cool, compatissantes : c’est terrible, car le subconscient de l’esclave
le percevra comme un désintéressement pour sa nature, sa personnalité d’esclave,
la relation sera en danger… C’est peut-être le point le plus important qui fait
la différence entre les simples Dominatrices et les Queens. N’est pas
Dominatrice qui veut… car dans le contexte des punitions c’est de Domination
pure qu’il s’agit : une Déesse est aussi Dominatrice. Chacune à sa
manière, ses méthodes, mais elle doit savoir dresser son esclave mâle pour qu’il
puisse vivre normalement, respecté, comme esclave qu’il est.
d) Dons :
Le bonheur suprême pour un esclave est de recevoir un don de sa Déesse ;
un Don a obligatoirement transité par elle, dans son corps. Ses glaires, sa
salive, son urine et autre parfois… Elle mâche pour son esclave, elle lui tend
ses restes, même en présence d’autres personnes. Le gynarchique aura cet
incroyable sentiment de complicité totale avec sa Déesse car elle lui offre de
son « Elle » de son intimité, de son intimité la plus secrète et
tabou jusqu’alors pour certaines. Ce sont des actes d’amour et de confiance :
c’est pour toi et toi seul mon esclave, cela vient de moi, de mon corps.
e) La
traite : Un esclave gynarchique n’ai plus du tout propriétaire de
sa sexualité quand il est sous la tutelle de sa Déesse. Elle seule décide. Mais
au Japon et en Allemagne, aux USA aussi, il est annoncé à l’esclave une
périodicité de son éjaculation. Pour des raisons de métabolisme, d’hygiène
naturelle…
« Tu pourras éjaculer une
fois par mois, une fois par an, tous les 6 mois… » Chaque Déesse décide selon. Elle peut le faire, le voir faire ou le commander à distance. Aucune importance pour l'esclave.
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La
Sexualité : Un esclave ne se masturbe pas seul, ce serait pour lui « vendre
son âme », ne plus se respecter soi-même car sa sexualité est propriété de
sa propriétaire. Se masturber serait la tromper. Inimaginable, car tout son
édifice moral s’effondrerai. Bien au contraire son cerveau travaille la chose
et c’est ce qui donne cet équilibre de vie si magnifique à l’esclave : son
sentiment d’appartenance par amour et hors le seul sujet sexuel. Un gynarchique
ne voit pas en sa Déesse un être à fantasme, un désir sexuel. MAIS :
Toutes mes Déesses un jour, lors d’un massage, d’un bain ou autre ont exigé de
moi de longues jouissances ; ensuite mes Déesses Dominatrices pro de
Suisse, Allemagne et Japon m’ont amené en Studio pour satisfaire des clients ;
je ne suis pas gay, mais cela n’a absolument aucune importance, c’était un
souhait de ma Déesse. Lors de soirées à thèmes en Suisse, des fonds étaient
récoltés pour une sortie communautaire un dimanche ; environ 10€ la
fellation l’esclave que je suis, et d’autres, ont dû en faire toute la soirée
sous le commandement de nos Déesses. En résumé la sexualité intervient ou pas dans
une relation gynarchique, seule la Déesse décide. J’ai eu 2 propriétaires
mariées, fidèles, jamais elles n’ont abusé de moi.
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Militantisme :
Pour un gynarchique, la Femme est flouée, elle n’a pas sa place dans ce monde.
Elle donne la vie, et il existe encore des mouvements qui la prennent pour un
bovin !
Notre monde est souvent haine et guerres depuis des millénaires,
à cause des hommes et eux seuls. Dieu aurait dû être Femme, car elle seule
donne la vie et fera tout pour protéger son petit, son enfant ou ceux des
autres mamans même. Si la vie sur terre avait commencé sur ces bases, nous n’en
serions pas là avec ces milliards de morts depuis… Ensuite l’homme raisonne
souvent avec sa queue, et elle seule ; il fait de la femme son objet. Elle
peut être consentante, aimer les choses du sexe, bien-évidemment, et c’est bien,
aucun jugement là-dessus, mais elle doit toujours elle contrôler les choses.
Ce n’est pas le cas totalement dans ce monde : très loin s’en faut !
La femme est belle, beauté du corps, sensibilité, amour, féminité, tendresse, maman…
Plus rarement autorité. Le gynarchqiue milite pour l’autorité de la Femme.
Ensuite, une Femme qui apprend à Dominer vraiment se fortifie,
gagne en confiance en elle, immensément. A mon âge je peux témoigner avoir vu
de frêles jeunes femmes entrer dans notre communauté avec timidité et être
aujourd’hui de riches femmes d’affaires, une d’entre elle en particulier
posséder plusieurs magasins dans le monde… Inimaginable pour elle à 20 ans. Je
voudrai aussi apporter ce témoignage : Déesse Micky, de Mulhouse, m’a
dressé de nombreuses années. Sa fille étudiante de 19a vivait chez elle. Pas à pas elle a expliqué à sa fille vouloir
vivre sainement sa condition de Dominatrice, assumer son statut, sa
personnalité, ne pas se cacher ; pas à pas sa fille m’a adopté en esclave
maison ; je venait une ou deux fois semaine, repassage, lavage, ménage... Un matin, en riant elle a dit une première fois « Nous avons 2 chiens à la maison maintenant ». C’est que
sa mère m’avait mis nu dans un coin de la cuisine, nez dans mon bol pour me
punir. Elle a été surprise, certes, mais j’ai été adopté. Très peu de temps
après elle m’ordonnait, me montrait du doigt mon coin, un jour que je passais l’aspirateur
où il ne fallait pas dans sa chambre a pris une trique et frappé fort ; plus tard elle a
voulu assister à une correction par sa mère. Des années plus tard nous nous
sommes revu dans un supermarché, et là elle m’a remercié, avoué qu’en fait grâce
à ma présence elle avait formidablement grandie, gagné en maturité en confiance
en elle surtout et aujourd’hui savoir parlé avec autorité partout ! Je l’ai
embrassée de bonheur, nous nous sommes enlacés. Aussi je donne un conseil aux
Déesses qui hésitent : Assumez, au moins chez vous. L'esclave vous aidera. Si vous avez une amie
intime, parlez, et présentez lui votre esclave en esclave : lui sera fier,
votre amie vous remerciera de votre confiance en elle, et vous Déesse, votre
subconscient enregistrera la scène et vous vivrez mieux en vous votre nature de
Dominatrice sans parfois que vous en rendiez compte ; vous aurez gagné en
confiance en vous si vous en manquiez. Pour le gynarchique c’est aussi un acte
militant que de montrer et de témoigner de la cause. Enfin, au Japon, mais
surtout en Allemagne, les mères sont souvent accompagnées par leurs filles
majeures quand elles dominent leurs mâles. Il n’y a pas de gêne et psychologiquement
tout repose sur le fait qu’il n’y a pas de rapport sexuel avec le mâle dressé. La
plupart des filles souffrent de savoir leurs mères prostituées, mais pas du
tout de savoir qu’elles sont Dominatrices.
Au
contraire, c’est souvent une fierté !
Julien